Famille Collignon

Famille Pol Collignon - Angèle Bernard 1920	André, Lucie et Jean-Marie Collignon 1931	Antoinette et Jean Collignon 1930	Henri Collignon 1931

Ce que nous savons sur les Collignon de la famille, c’est qu’ils étaient originaires de Sivry sur Meuse et qu’ils étaient agriculteurs.

Constantin Collignon (1849-1897) épousa Catherine Saintin. Ils ont eu deux enfants:

• Jules Collignon: (1873-1895)

• Pol Collignon: (1876-1960) qui épousa Angèle Bernard. De leur union, naquit 3 enfants:

• André: (1901-1981) cultivateur à Sivry marié avec Lucie Falala, ils auront 2 enfants: Jean-Marie né en 1930, agriculteur qui épousera Bernadette Poncelet d’Haraumont. Ils auront trois enfants: Dominique (1957-1957), Jean-Luc (1959) et Marie-Odile (1964). Marie Thérèse: née en 1938 épousera René Charlet et aura 2 enfants: Thierry et Catherine.

• Antoinette (1905) mariée à Jean Collignon géomètre à Sivry, ils auront 5 filles: Françoise (1931) mariée à François Poillot (2 filles: Véronique et Sylvaine, Bernadette (1933) mariée à René Dardard (2 fils: Olivier et Benoît), Elisabeth (1933) mariée à Albert Saint Joire, Anne Marie (1939-1969) mariée à Jean Claude Pilloy (3 filles: Sophie, Anne et Céline), Monique (1944) mariée à Pol Leborgne (3 enfants: Frédérique, Bertrand et Vincent)

• Henri (1913-1986) vétérinaire à Montmédy épousera Renée Taulet et aura 10 enfants: Jean-Paul (1941), Bernard (1943) Michel (1945), Dominique (1947), Yves (1949), Pascal (1952), Laurent (1955-1974), Denis(1957-1974), Isabelle (1959-1959), Bruno (1961).

Les Collignons sont les cousins de la «maison du bout» (Jean et Antoinette). Située au dessus d’une métairie derrière un jardin cultivé par Jean avec amour, c’était la maison des gaufres de Nenette et du miel de Jean avec plein de filles très animées…

Les Collignons de la ferme (Jean-Marie et Bernadette) nous ont montré à nous les petits citadins en vacances à Sivry, ce qu’était vraiment un agriculteur. Avec patience, ils nous ont appris: la traite des vaches, l’herbe aux lapins, les concerves de légumes, la moissoneuse bateuse et surtout le dur métier de cultivateur qui ne s’arrête jamais…

Les Collignons de Montmédy (Henri et René): c’était plein d’enfants avec des grands plus vigilents dans une maison immense avec un grand escalier qui grimpait dans un grenier plein de médicaments pour les animaux. C’était des tablées gigantesques avec de la limonade et de la bière belge de contrebande, une cabane dans le jardin en pente pour gaver notre imagination turbulente et surtout des chefs de tribu d’un calme olympien…